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Zéro mauvaises herbes et aucun désherbage,
Oui, c’est possible!
Imaginez! Vous affranchir de toutes les tâches et dépenses nécessaires au contrôle des mauvaises herbes!
Vous êtes septique! Ça se comprend! Mais M. Fortier vous rassurera avec preuve à l’appui. La solution est simple et à la portée de tous! Mais pour cela, il faut connaître, non pas l’horticulture, mais les lois environnementales qui gèrent le monde végétal depuis des millénaires. L’horticulture a été inventée par l’humain et, comme lui, n’est pas parfaite, mais les lois environnementales le sont!
Débutez votre prochaine saison de jardinage du bon pied! Donnez-vous la chance d’éviter la tâche ardue qu’est le désherbage pour ne conserver que les plaisirs et la satisfaction que vous procure vos jardins, sans être envahis par ces plantes non-désirées.
Eh oui, c’est possible! Fallait juste que quelqu’un vous dise les vraies affaires!
Ces notions servent autant pour la pelouse, les aménagements ou les jardins potagers.
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Pelouse, paysage et jardinage,
huit principes naturels pour jardiner sans pesticides, sans désherbage et sans effort
Le monde végétal est géré par des lois immuables fonctionnant de façon harmonieuse et intelligente.
Comment un arbre sur le roc d’une montagne fait-il pour vivre sans terre sous ses racines?
Pourquoi une prairie sauvage fleurie au fil des ans sans que personne n’y fasse l’apport de quoi que ce soit?
Comment un érable mature fait-il pour trouver les 200 litres d’eau nécessaire quotidiennement même s’il ne pleut pas pendant des semaines?
Avez-vous déjà rencontré au centre de jardin un arbre descendu d’une forêt pour venir s’acheter une poche de compost afin de pouvoir se nourrir durant l’été dans le bois?
Quelle force donne aux végétaux leur autonomie en nourriture et en eau?
Quelle loi influence la croissance des mauvaises herbes?
Pourquoi une plante subie une attaque de pucerons mais pas l’autre à côté d’elle?
Vous aurez les réponses dans une logique incontestable. De faire fi de ces lois vous maintient dans les tâches et les obligations. Serge Fortier EPCC profite de son environnement depuis qu’il respecte ces lois. Il vous en fera part avec passion!
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Huit façons écoresponsables de valoriser toutes les matières
organiques chez soi
Il est connu de tous que les matières végétales composent une bonne partie du poids des déchets qui vont aux sites d’enfouissement. C’est d’ailleurs ces matières qui sont responsables de la libération de gaz à effets de serre (GES), lors de leur décomposition anaérobique (sans air) dans ces sites d’enfouissement.
En tant que consommateur, nous devons trouver et adopter des solutions afin de réduire la production de déchets. Pour les matières putrescibles, vous savez qu’il est possible d’en faire un bon compost. Les feuilles des arbres, la pelouse coupée, les restants de table et les pelures, les coquilles d’œuf sont tous des matières putrescibles qui peuvent faire un bon compost.
Mais est-ce facile à faire? Êtes-vous limité dans le temps ou dans l’espace disponible? Est-ce possible de composter les viandes, poissons et produits laitiers? Est-ce possible de profiter de ces matières autrement que par le compostage habituel?
Eh oui! Il existe d’autres façons pour vous permettre de bénéficier de cette richesse, tout en contribuant à diminuer les déchets à la source et diminuer la production de GES (Gaz à effet de serre).
- Utiliser un composteur extérieur.
- Profiter du “Cône vert” pour gérer les viandes, poissons et produits laitiers
- Faire du vermicompostage (pour l’hiver ou pour ceux qui restent en appartement)
- Composter sous toiles opaques.
- Paillis avant compost.
- Laisser certains débris végétaux là où ils sont.
- Mettre la poussière sous le tapis
- Découvrir la toilette biologique.
Dans cette conférence, Serge Fortier EPCC explique les différentes solutions, ci-haut mentionnées, pour arriver à diminuer à la source les déchets et valoriser ces matières putrescibles domestiques de la façon la plus pratique pour chacun. L’utilisation de l’ensemble de ces méthodes selon le désir et le besoin de chaque citoyen éviterait de devoir opter pour des méthodes de collecte et de transport à grande échelle aboutissant à des coûts astronomiques pour les municipalités et aucun réels gains environnementaux.
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Les besoins en eau des végétaux
(Démystifier les arrosages)
Sources d’eau disponibles aux végétaux
Périodes propices d’arrosage :
1) Pour sauver du temps
2) Pour économiser l’eau potable
3) Pour optimiser la croissance
4) Pour diminuer les risques de maladies
5) Arroser au soleil : Danger! Mythe ou réalité?
Contrôler les pertes d’eau
1) Comprendre les phénomènes de perte
2) Offrir des trucs pour y remédier
Poser les bons gestes, au bon moment, cela augmentent le rendement, font sauver du temps et préservent l’environnement.
En période de sécheresse, comment faire pour concilier les restrictions d’arrosage des municipalités et les besoins plus grands, en eau, des citoyens pour leur paysage? M. Fortier donne des ouvertures aux citoyens pour conserver une belle propriété, en temps de sécheresse, avec beaucoup moins d’eau potable, simplement en contrôlant les pertes et le gaspillage de cette denrée essentielle.
C’est fou le nombre de gestes, que bons nombres de citoyens posent, pour conserver un beau parterre et qui sont inutiles ou même néfastes, résultant d’un manque de connaissances sur des principes de base que la nature elle-même nous montre à tous les jours.
Les notions dévoilées dans cette conférence ont pour but de rendre plus autonomes les végétaux en matière de besoin en eau. Lorsque bien compris, ces notions apportent la possibilité de ne plus avoir besoin de consommer d’eau potable pour les besoins d’arrosage, sans toutefois manqué d’eau d’arrosage et sans non plus devoir s’équiper de plusieurs barils récupérateur d’eau de pluie! De ce fait, cette conférence est tout à fait appropriée pour les municipalités aux prises avec des risques de pénuries d’eau potable durant l’été.
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Gestion des algues et plantes aquatiques des bassins versants et des plans d’eau
Quel rôle jouent les plantes aquatiques et les algues?
Pourquoi elles prolifèrent tant à certains endroits?
Est-ce un phénomène normal?
Peut-on modérer, voire stopper leur prolifération?
Devons-nous attendre après des solutions provenant des ministères ou chacun de nous peut dès maintenant poser des gestes d’amélioration?
À cette dernière question, la réponse est oui!
Plusieurs gestes faciles, profitables et peu coûteux sont à la portée de chaque résident, qu’il habite ou non près d’un plan d’eau, car chaque goutte d’eau finira tôt ou tard à se retrouver dans un plan d’eau et aura, durant son périple, transporter des éléments nutritifs sur son passage.
Cette conférence contribue à outiller les organismes, villes et citoyens de moyens accessibles grâce à la vulgarisation d’une logique environnementale permettant de comprendre le phénomène et d’y remédier.
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Que préférez-vous, des vivaces faciles à cultiver
ou de la facilité à cultiver des vivaces?
Dans la nature chaque plante pousse dans un milieu propice à sa croissance. Les végétaux mal adaptés aux conditions de sol, de température ou d’autres facteurs ne pourront pas donner leur meilleur. Sans mourir nécessairement, certaines plantes résisteront mieux que d’autres, mais seront-elles dans leur meilleur en termes de croissance, de floraison et de résistance aux maladies?
On a donc le choix de chercher les quelques rares variétés de vivaces qui survivront le mieux possible ou de créer des conditions de culture propices au plus grand nombre de variétés de vivaces. Ainsi, elles pourront s’épanouir et donner la diversité que vous souhaitez dans votre cour et ce, avec le moins d’effort possible.
Que préférez-vous?
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La protection des végétaux avant la
période hivernale et leur entretien
Dans quels buts protège-t-on les végétaux?
Est-ce nécessaire de le faire?
Doit-on enlever le vieux feuillage avant de faire la protection?
Quel est la période la plus propice pour protéger les végétaux?
À quel moment doit-on retirer les protections?
Quels matériaux utiliser pour protéger vos végétaux des rigueurs de l’hiver?
Comment minimiser les dépenses et les efforts sur le plan de la protection hivernale?
Une conférence qui a pour but de comprendre les besoins des végétaux afin qu’ils soient les plus aptes possible à passer la saison la plus rude pour eux.
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Tendances futures en horticulture
L’environnement sera de plus en plus au cœur des nouvelles tendances qui touche l’horticulture, le jardinage et les gestes quotidiens. Le souci grandissant de la population à propos de leur qualité de vie, de l’eau que nous buvons, de l’air que nous respirons, des aliments que nous mangeons, fera que les pratiques horticoles devront en tenir compte. Bien que ce soit déjà commencé, ces tendances s’accentueront et les informations deviendront de plus en plus accessibles.
En voici des exemples :
Le respect des niches écologiques
Les plantes comestibles qui nous entourent
Privilégier les variétés indigènes
Le jardinage écologique
Les marais filtrant pour purifier les eaux de bassins, piscines, etc.
Fleurir les toitures, un moyen d’augmenter la bio masse en ville
Les alternatives à la pelouse, une tendance très écologique
La culture des pousses durant la saison froide, un bon moyen de
joindre le plaisir de la terre et le bien mangé.
Le vermicompostage, propre, facile et intéressant recycleur de
matières organiques domestiques
Le « cocooning », améliorer sa cour pour y passer plus de temps
Les toilettes biologiques ; Faire son propre compost domestique,
sans utiliser d’eau potable.
Voilà quelques sujets, parmi plusieurs autres, qui seront d’actualité dans les années à venir.
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Le compostage et le vermicompostage
expliqué et optimisé
Dans une pédagogie accessible à tout citoyen désirant adopter ces méthodes de valorisation des matières organiques, Serge Fortier présente avec beaucoup de visuel sur place les façons de faire un bon compost. Cette conférence démystifie ce qui est appelé le vert et le brun ou le rapport Carbone/ Azote si important pour une bonne décomposition. Y a-t-il différents modèles de composteurs et de vermicomposteur? Combien il en faut? Quel est le meilleur? Le vermicompostage, c’est quoi? Est-ce ça risque de sentir? Quels sont les coûts pour s’équiper? Comment continuer à valoriser mes matières en hiver? Autant de questions et plus qui trouveront des réponses et qui donnera le goût aux plus sceptiques de commencer.
Peut-on composter les restes de viandes, poissons et produits laitiers? Oui! Maintenant on le peut avec le cône vert que M. Fortier vous fera découvrir.
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Bacs ou pleine terre; Quoi savoir pour jardiner sans se planter!
La connaissance est le moteur de la réussite. Cette conférence s’adresse aux amateurs de jardinage en quête de conseils pour choisir le meilleur mode de culture selon ses besoins. Que l’on jardine en bacs, en pots ou en pleine terre, il est important de savoir ce que chaque mode de culture implique. Le contenu de cette conférence n’est pas de promouvoir une méthode de jardinage plus qu’une autre, mais bien de vous aider à développer une plus grande compréhension des besoins des végétaux en vue d’acquérir une plus grande liberté.
Pourquoi la culture en contenants devient-elle si populaire? Est-ce une révolution dans la manière de faire pousser des plantes? Qu’advient-il des jardins en pleine terre? Dans des mots bien vulgarisés, cette conférence vous mènera vers la voie de la compréhension. Elle vous aidera à mieux évaluer vos besoins ainsi qu’à répondre à vos attentes en matière de jardinage. Vous bénéficierez aussi d’une panoplie de conseils inédits pour faire face aux différentes situations que l’on rencontre lorsqu’on jardine ainsi que pour obtenir les meilleurs résultats possibles.
Cette conférence se révèle utile pour tout genre de culture, que vous aimiez faire pousser des fleurs, des légumes, améliorer votre aménagement paysager et même votre pelouse!
Bon jardinage!